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Gérard Schivardi, candidat sans parti propre.
16/03/2007 22:29
LA BIOGRAPHIE DE GERARD SCHIVARDI, EN BREF.
Gérard Schivardi est né en 1950 à Narbonne. Il est marié et père de deux enfants.
Il est maître artisan maçon depuis 1970, toujours en activité.
De 1973 à 1988 il président le syndicat des maçons de l’Aude.
En 1975 il entre au Parti socialiste. Il y restera jusqu’en 2003. Depuis il n’est membre d’aucun parti politique.
En 1989 il devient conseiller municipal de Mailhac puis 2 ème adjoint en 1995. Il est élu maire de Mailhac en 2001.
Le 13 février 2002 il fonde à La Caunette (Hérault) avec des élus du Minervois « le comité de défense des communes et des services publics » dans le Minervois .
Ce comité lance une « lettre aux maires et conseiller municipaux de France pour défendre les 36 000 communes et pour l’abrogation des lois imposant le regroupement forcé des communes et détruisent les structures de libre coopération intercommunale »
Cet appel prendra une ampleur nationale à partir d’une réunion de « défense des communes » à Villeneuve les Maguelone ( 34) le 8 février 2003.,.
Gérard Schivardi animera de nombreuses réunion dans le pays en défense des communes.
En Juillet 2003 il est élu Conseiller général du Canton de Ginestas « pour défendre les communes face à l’intercommunalité forcée et pour défendre les services publics »
Le 20 septembre 2003, il prend la tête de la manifestation nationale à Paris appelée par des militants de toutes tendances , derrière la banderole : « nous voulons garder nos 36 000 communes dans la République indivisible et laïque » Il y prononce un discours « construisons le mouvement du « non » à la constitution européenne. »
Le 4 avril 2004, il lance avec des maires et des militants de toutes tendances dont Aimé Savy maire adjoint MRC, Daniel Gluckstein secrétaire national du Parti des travailleurs , des élus militants du PCF du PS une « conférence nationale de défense des communes et des services publics »
Cette conférence réunie le 16 octobre 2004 à Ivry appellera à une manifestation nationale à Paris « pour la Victoire du vote NON » au projet de constitution européenne où il prendra la parole.
Le 16 avril 2005, il participe à un meeting à la mutualité à Paris « pour la victoire du vote NON » au côté d’élus et de militants de toutes tendances
Le 16 octobre 2005, il est un des initiateurs avec des militants de toutes tendances de la « 1 ère convention nationale pour la défense des services publics et des 36 000 communes, la reconquête de la démocratie politique et la rupture avec l’Union européenne. »
Le 18 janvier 2006 il prend la parole dans une salle comble de la mutualité à Paris « pour le respect du vote NON émis par le peuple lors du référendum du 29 mai »
Le 27 et 28 mai 2006 il participe aux côtés de militants de toutes tendances à la « deuxième convention pour la reconquête de la démocratie et la rupture avec l’Union européenne »
Le 18 novembre 2006 il prend la parole au début de la manifestation nationale qui réunit 10000 travailleurs et jeunes « pour la reconquête d e la démocratie, pour la rupture avec l’Union européenne, pour la défense des 36 000 communes, des services publics et de la laïcité ».
SON PROGRAMME
Culture et communication
* Rétablissement des dispositions garantissant aux artistes salariés une assurance-chômage. * Maintien des artistes sous le régime du code du travail et non du droit commercial, en rupture avec les directives européennes.
Economie et emploi
* Interdiction des délocalisations, des licenciements et nationalisation des secteurs-clés de l'industrie et de la banque. * Abrogation de l'article 87 du traité de Maastricht, qui interdit les aides aux entreprises. * Renationalisation d'Airbus Industrie. * Réforme de la politique agricole commune : abandon des mises en jachère organisées ; garantie des prix agricoles fixés par l'Etat ; aide financière aux agriculteurs en difficulté ; frein à la spéculation sur les terres agricoles. * Obligation pour les entreprises de préparer les apprentis à l'examen du diplôme professionnel. * Abrogration de toutes les dérogations au CDI ; refus du développement des CDD et du travail à temps partiel.
Education
* Abrogation de la loi du 13 août 2004, pour maintenir ouvertes les 21 000 écoles de moins de 4 classes menacées de fermeture. * Réouverture des classes fermées dans les écoles communales, notamment des collèges de moins de 300 élèves. * Abrogation des lois de décentralisation et fin du transfert du financement de l'éducation aux collectivités territoriales, pour préserver l'égalité des droits à l'instruction et le montant des impôts locaux. * Abrogation des lois anti-laïques, notamment l'article 89 de la loi d'août 2004, sur le principe « fonds publics à l'école publique, fonds privés à l'école privée. » * Réouverture des 336 lycées professionnels fermés depuis 1985 ; rétablissement des 6 375 postes aux concours d'enseignant dans les lycées professionnels supprimés en 2006 ; maintien des 5 500 postes de professeurs menacés pour la rentrée 2007. * Maintien de diplômes nationaux, reconnus dans les conventions collectives.
Environnement
* Abolition des directives européennes sur l'eau, qui contraignent les petites communes à privatiser la gestion de l'eau. * Lutte active contre la désertification des campagnes.
Europe
* Rupture avec le traité de Maastricht, la « concurrence libre et non faussée », la privatisation des services publics et la libéralisation de l'économie. * Retour à la souveraineté nationale : rétablissement des codes du travail, des services publics, des droits, de la liberté des communes.
Famille et logement
* Maintien du droit au logement sous la responsabilité de l'Etat et non des collectivités locales. * Réquisition des logements vendus par les bailleurs institutionnels pour loger les 100 000 personnes à la rue. * Arrêt de la démolition des 350 000 HLM décidée par le plan Borloo ; réhabilitation de ces logements sans augmentation de loyer, ni de charges. * Construction massive de HLM neufs. * Rétablissement de l'aide à la pierre. * Interdiction des expulsions locatives.
Immigration et intégration
* Refus de faire des travailleurs immigrés des boucs émissaires ; égalité des droits sociaux pour les Français et les immigrés. * Refus d'une « libre circulation des personnes » dans l'espace européen qui soit une mise en concurrence des travailleurs.
Institutions et réforme de l'Etat
* Arrêt de la fermeture des bureaux de poste, réouverture de ceux qui ont été fermés ; retour à la distribution du courrier 6 jours sur 7, sur l'ensemble du territoire, au tarif unique du timbre. * Abrogation des directives postales européennes n° 97/60/CE et 2002/39/CE ouvrant la Poste à la concurrence. * Rétablissement du monopole d'Etat sur la Poste ; maintien du statut de fonctionnaire d'Etat des facteurs et des agents de la Poste, avec les droits et les devoirs afférents. * Election à la proportionnelle d'une Assemblée constituante qui désigne un gouvernement responsable devant elle. * Rétablissement des prérogatives des 36 000 communes ; maintien des cantons et des départements. * Nationalisation et renationalisation des secteurs-clés de l'industrie et de l'économie.
Justice et sécurité
* Maintien du maire dans son rôle d'élu, et non de juge ou de policier. * Refus d'accorder à l'Union européenne le droit d'intervenir dans le droit pénal français. * Maintien de l'ordonnance de 1945 sur les mineurs délinquants. * Augmentation massive du nombre de juges et des moyens de la justice.
Politique étrangère et de défense
* Baisse du budget de la défense. * Refus de soumettre la défense française à l'OTAN. * Refus d'un traité constitutionnel européen prévoyant l'augmentation des dépenses militaires.
Santé et retraites
* Abrogation de la loi Douste-Blazy de 2004. * Retour aux 37,5 années de cotisation pour tous les salariés, du public comme du privé. * Maintien des régimes spéciaux et de la dispense de recherche d'emploi pour les plus de 57 ans. * Annulation des 175 milliards d'euros d'exonérations de cotisations patronales pour financer le système des retraites. * Maintien d'une retraite décente pour les agriculteurs.
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Jean-Marie Le Pen, 2007, encore au 2nd tour ?
04/02/2007 11:10
Le candidat du Front National, Jean-Marie Le Pen, possède derrière lui une longue expérience de la politique française, en voici le détail :
- 1956 - 1962 : député de la Seine (Groupe d'Union et de fraternité française), siégeant sous l'étiquette du Centre national des indépendants et paysans (CNI)
- 1972 : fonde le Front national (FN), parti d'extrême droite (ou de droite nationale)
- 1974 : se porte candidat à l'élection présidentielle et obtient 0,74 % des voix
- 1976 : attentat à la bombe contre son domicile parisien qui est complétement détruit
- 1978 : assassinat de François Duprat, membre du bureau politique du Front national
- 1981 : n'obtient pas les 500 parrainages nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle
- 1983 : conseiller du XXe arrondissement de Paris
- 1984 : élu député européen
- 1986 - 1988 : député de Paris
- 1988 : candidat à l'élection présidentielle (14,38 % des voix)
- 1990 : se rend en Irak pendant la guerre pour négocier directement avec Saddam Hussein la libération de 55 otages qu'il ramène en France
- 1992 : élu conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur
- 1994 : réélu député européen
- 1995 : candidat à l'élection présidentielle, il obtient 15 % des voix
- 1998 : réélu conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur
- 1999 : réélu député européen
- 2002 : à l'élection présidentielle, il obtient 16,86 % des suffrages (sur 16 candidats) et se qualifie ainsi pour le second tour, et obtient 17,94 % des voix
- En juin 2004 : réélu au Parlement européen.
SON PROGRAMME :
Economie
- Faire en sorte de maîtriser la compétition économique internationale avec par exemple la prise en considération des effets destructeurs et déracinants de l'ultra-libre-échangisme pour l'équilibre social et l'identité des nations ou par la reconnaissance du droit des nations à se prémunir contre la destruction des branches qui sont vitales pour leur existence et leur indépendance.
- Rétablir certains droits de douanes pour compenser les écarts de coût de main-d'oeuvre ou de conditions de travail avec certains pays du monde.
- Repenser les mécanismes d'aides aux pays du Tiers-Monde pour limiter l'immigration vers la France.
- Réduire les dépenses publiques et sociales de 75 milliards d'euros par an sur 10 ans.
Education
- Carte scolaire : abrogation et instauration de l'égalité de traitement, entre enseignement public et privé. - IUFM : partisan de la suppression des Instituts Universitaires de Formations des Maîtres, « instruments de la révolution culturelle au service de la gauche », et de leur remplacement par des Centres Pédagogiques Régionaux.
- Instauration d'un chèque scolaire pour permettre le financement des frais d'inscription, de scolarité et de fonctionnement des établissements publics ou privés, choisis par les parents.
- La durée de la scolarité obligatoire ne se justifie plus : c'est l'intérêt et l'aptitude de l'enfant qui doivent, avant tout, être pris en compte.
- Chaque établissement d'enseignement public sera doté de la personnalité morale et de l'autonomie financière et pédagogique.
- Les établissements d'enseignement seront incités à mettre en valeur les résultats des élèves et des étudiants, par l'attribution de prix ainsi que par le rétablissement des notations chiffrées et du classement.
Société
- Famille : mise en place d'une grande politique familiale passant par des mesures incitatives de la natalité et la défense de la structure familiale. Abrogation des lois sur l'avortement. Versement d'un revenu parental d'éducation équivalent à 1,5 fois le smic pendant trois ans pour le 1er et le 2nd enfant. Réserver les allocations familiales aux familles françaises. Abrogation du Pacte civil de solidarité.
- Préférence nationale : le Français doit avoir plus de droits que l'étranger. Rendre aux Français leur privilège dans leur propre pays : préférence nationale à l'emploi, au logement, aux aides sociales et familiales. A compétence égale, les emplois notamment sont réservés prioritairement aux Français.
- Sécurité : rétablir une défense nationale indépendante en adaptant son budget à la hauteur d'une défense moderne et efficace. Retrouver une armée nationale en instaurant un service militaire volontaire de 6 mois ouvrant droit à des facilités d'accès à la fonction publique. Appliquer une politique de fermeté à l'égard de la délinquance et de la criminalité. Mettre en place une politique carcérale volontaire et humaine que permettra l'ouverture de 100.000 places de prisons.
- Justice : organiser une justice impartiale par la suppression de la syndicalisation des magistrats, en régionalisant l'ENM et en réservant 50 % des places dans la magistrature par concours à la société civile.
Ecologie
- Impulsion d’une grande politique d’investissement dans la recherche d’énergies de substitution, « respectueuses de l’environnement et garantes à terme d’une indépendance énergétique de la France et peut être une des chances de l’agriculture de demain »
- Consommation : mise en place d’une fiche obligatoire sur tous les produits indiquant sa provenance, sa composition et ses dangers potentiels.
- Référendums sur les questions d'environnement et les projets d'urbanisme ou d'infrastructure.
- Délits d'atteinte à l'environnement pour lesquels les entreprises ou les personnes seront poursuivies, condamnées à des dommages et intérêts en proportion des préjudices, voire à des sanctions pénales.
Politique étrangère
- Défense : renforcement d’une armée nationale puissante « dans cette Europe des Nations ». - Justice : le président défendra, au niveau international, l'organisation d'un "procès de Nuremberg" du communisme. - Otan : retrait de la France - Proche-Orient : Paris doit jouer, dans le conflit entre Israël et les pays arabes, tout son rôle de médiateur et de conciliateur. - Etats-Unis : Paris sera loyal à Washington mais non inféodée. La France refusera de s'associer, comme pour l’Irak, à toute intervention qui violent les règles du droit international.
Jean-Marie Le Pen - Ripostes
26 novembre 2006
Jean-Marie Le Pen - LCI
09 février 2007
J.-M. Le Pen - A vous de juger - 1/5
13 février 2007
J.-M. Le Pen - A vous de juger - 2/5
13 février 2007
J.-M. Le Pen - A vous de juger - 3/5
13 février 2007
J.-M. Le Pen - A vous de juger - 4/5
13 février 2007
J.-M. Le Pen - A vous de juger - 5/5
13 février 2007
Jean-Marie Le Pen - J'ai une question à vous poser" 1/4
14 février 2007
Jean-Marie Le Pen - J'ai une question à vous poser" 2/4
14 février 2007
Jean-Marie Le Pen - J'ai une question à vous poser" 3/4
14 février 2007
Jean-Marie Le Pen - J'ai une question à vous poser" 4/4
14 février 2007
Jean-Marie Le Pen à Lille - 1/3
13 mars 2007
Jean-Marie Le Pen à Lille - 2/3
13 mars 2007
Jean-Marie Le Pen à Lille - 3/3
13 mars 2007
Jean-Marie Le Pen - "Question ouverte" sur FR2
16 mars 2007
Commentaire de ToTo (05/02/2007 18:35) :
Monsieur LE PEN convainc déjà de part sa grande expérience mais aussi par
sa jeunesse d'esprit! Comme à sa grande habitude il nous présente ici
un programme où tout français un tant soit peut patriotique se reconnaîtra
facilement et c'est pour cela, que sans complexe, je le soutiens
totalement à ceux que cela déplaise ou non. ToTo « Vive le Front National,
Vive l’Union Patriotique, Vive la France »
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Nicolas Sarkozy, représentant de la famille UMP
03/02/2007 22:05
Le candidat désigné de l'UMP, Nicolas Sarkozy, une expérience politique de trente ans :
- Depuis 1977 : conseiller municipal de Neuilly-sur-Seine
- 1977 : membre du comité central du RPR
- 1978-1979 : délégué national des jeunes du RPR
- 1979 - 1981 : président du Comité national des jeunes en soutien à Jacques Chirac pour l'élection présidentielle de 1981
- 1983 - 2002 : maire de Neuilly-sur-Seine
- 1983 - 1988 : conseiller régional d'Île-de-France
- 1986 – 1988 : vice-président du conseil général des Hauts-de-Seine, chargé de l'enseignement de la culture
- 1988 – 1993 : député des Hauts-de-Seine
- 1989 : secrétaire national du RPR, chargé de l'Animation, de la Jeunesse et de la Formation
- 1993 : réélu député (remplacé par son suppléant après sa nomination comme ministre du Budget)
- 1993 – 1995 : ministre du budget, porte-parole du gouvernement, puis chargé, à titre provisoire, d'exercer les fonctions du ministre de la Communication (gouvernement Balladur)
- 1995 : réélu député
- 1995 : ministre du Budget, chargé d'exercer les fonctions du ministre de la Communication (gouvernement Balladur)
- 1997 : réélu député (mandat jusqu'en juin 2002)
- 1995 - 1997 : porte-parole du RPR
- 1998 - 1999 : secrétaire général du RPR
- 1999 : président du RPR par intérim
- 1999 : tête de la liste RPR-DL pour les élections européennes de juin
- 1999 : élu député européen, il cède sa place à Brice Hortefeux en raison de la loi sur le cumul des mandats
- 2002 : réélu député des Hauts-de-Seine
- 2002 – 2004 : ministre de l'Intérieur, de la Sécurité intérieure et des Libertés locales dans le premier et dans le second gouvernement Raffarin
- Depuis 2004 : conseiller général du canton de Neuilly-sur-Seine Nord, président du Conseil général des Hauts-de-Seine
- 2004 – 2004 : ministre d'État, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie dans le troisième gouvernement Raffarin
- 2004 : élu président de l'UMP avec 85,1 % des voix
- Depuis mai 2005 : ministre d’État, ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire, dans le gouvernement Dominique de Villepin.
SON PROGRAMME :
Economie
- 35 heures : le principe ne serait pas remis en cause mais Nicolas Sarkozy défend un droit de "travailler plus pour gagner plus". Le président de l'UMP veut permettre aux salariés et aux chefs d'entreprise de s'en exonérer.
- Transports publics : service minimum appliqué dès le mois de juillet 2007.
- Grande distribution : l'instauration d'une concurrence accrue. Objectif : faire baisser les prix.
- TVA : Nicolas Sarkozy entend transformer la promesse de Jacques Chirac en 2002 sur la baisse de la baisse de la TVA pour les restaurateurs, de 19,6% à 5,5%.
- Conflit social : faire voter une loi obligeant un vote à bulletin secret au bout de huit jours de grève.
- Droits de succession : suppression pour les petits et moyens patrimoines.
- Impôts : poursuite de la simplification d'un impôt à trois tranches au lieu de cinq et un plafonnement à 50% (CSG comprise) du bouclier fiscal. Baisse de quatre points du taux de prélèvement obligatoire (45,3% du PIB) afin de rendre 68 milliards aux Français. En contrepartie : non remplacement d’un fonctionnaire sur deux, remise à plat de la formation professionnelle, suppression des minima sociaux sans contrepartie d’activité et des préretraites. ISF : le président de l’UMP reste opposé à sa suppression. Il propose néanmoins que les investissements au profit des PME puissent être déduits de l’impôt de solidarité sur la fortune, dans la limite de 50.000 euros.
Education
- Carte scolaire : suppression de ce système pour que "chaque établissement ait la liberté de recruter des enfants en dehors de son secteur".
- Parents d'élèves : leur permettre de participer beaucoup plus sur les décisions concernant l'organisation de la vie scolaire ( construction d'une cantine, d'une salle de sport) et le règlement intérieur.
- Orientation : permettre à 5% des meilleurs élèves des établissements de rejoindre une classe préparatoire aux grandes écoles.
- Création d'internats de réussite éducative en ville et d'écoles de la deuxième chance pour les victimes du système d'éducation prioritaire.
- Enseignement : liberté pédagogique des enseignants mais en contrepartie ils devront être évalués.
- Collège unique : "Sortir de cette impasse par l'individualisation des parcours".
- Soutien scolaire : augmenter le salaire du professeur qui aide en dehors des cours des élèves en difficulté.
Société
- Mariage gay : Nicolas Sarkozy s'y oppose tout comme à l'adoption par les couples de même sexe. Mais il propose la création « d'un système qui, sur le plan fiscal, patrimonial et successoral, garantisse l'égalité entre couple hétérosexuel et couple homosexuel ».
- Logement : favoriser l'acquisition d'un bien immobilier par le crédit hypothécaire avec la caution de l'Etat.
- Service civil obligatoire fractionné ou non de 6 mois au total destiné aux jeunes âgés de 18 à 30 ans. - Internet : protection des jeunes contre les jeux violents et lutte contre la pédophilie.
Ecologie
- Gouvernement : création d'un "grand ministère" du Développement durable chargé de l'environnement, de l'eau, des transports et de l'énergie et d'un ministère de l'immigration et de l'identité nationale..
- Poids-Lourd : création d'une « redevance » pour les camions étrangers qui entrent sur notre territoire.
- Fiscalité : doubler d'ici 2012 le "poids de la fiscalité écologique" compensée par une réduction des charges pesant sur le travail. Et mise en place d'un "crédit d'impôt écologique" pour que "l'investissement écologique soit plus intéressant que l'investissement polluant".
Politique étrangère
- Turquie : Nicolas Sarkozy s'oppose fermement à l'entrée d'Ankara dans l'Union européenne. - Ajouter un commentaire
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Frédéric Nihous, défenseur de la chasse traditionnelle
03/02/2007 21:32
Frédéric Nihous, candidat pour Chasse Pêche Nature Traditions, son parcours:
Il est titulaire d'une maîtrise de droit public et européen ainsi qu'un troisième cycle en droit économique international et européen. Nihous a enseigné le droit à l'université de Cambrai. A la fin des années 1990, il est chargé de mission pour des collectivités territoriales du Nord. Frédéric Nihous adhère au parti CPNT et se rapproche de son fondateur, Jean Saint-Josse. En 1999, Frédéric Nihous devient secrétaire général de CPNT au Parlement européen. Chasseur expérimenté, il dirige également plusieurs associations de chasseurs de gibier d'eau dans le Nord et administre la Fédération Régionale des Chasseur du Nord-Pas-de-Calais.
En 2002, Frédéric Nihous dirige la campagne présidentielle de Jean Saint-Josse. Nommé ensuite assistant parlementaire de Jean Saint-Josse, il quitte le Nord pour rejoindre les Pyrénées-Atlantiques. Il devient alors directeur politique du mouvement CPNT. Après une élection interne et à la demande de Jean-Saint-Josse, président de CPNT, Frédéric Nihous a été choisi pour représenter son parti à l'élection présidentielle.
SON PROGRAMME
Economie
- Emploi et croissance : l'objectif primordial est le maintien et le développement d'activités économiques. Pour cela, s'appuyer sur la volonté croissante des populations de s'installer où la qualité de vie est assurée. Donner aux entreprises et artisans en zones rurales ou en zones urbaines difficiles le droit à un juste équilibre financier et une fiscalité attractive (zones franches, défiscalisation, ruches d'entreprises, micro entreprises, aides à l'emploi local). Réaliser une véritable réforme administrative pour simplifier l'ensemble des obligations et formulaires que supportent les petites entreprises, notamment par la création de guichets uniques pour faciliter toutes les démarches d'installations et de gestion d'activités économiques.
- Fiscalité : favoriser l'installation des artisans et des PME via la gratuité ou la prise en charge des baux commerciaux par les collectivités locales, exonération totale d'impôt sur l'activité économique. Baisse de la TVA sur les produits de restauration et culturels.
- Délocalisation : imposer le remboursement des aides et remboursements publics en cas de délocalisation. Empêcher l'importation des produits fabriqués à l'étranger par l'entreprise qui a délocalisé. Faire supporter à l'entreprise le coût social de la délocalisation.
Société
- Sécurité : assurer une juste sanction de tous les actes délictueux tout en assurant une présence dissuasive des forces publiques sur l'ensemble du territoire. Organiser une prévention étendue assortie d'une sanction pour tout délit grâce à une présence généralisée des autorités sur le terrain.
- Justice : développer une justice forte et indépendante. Lui donner les moyens humains, matériels et financiers de fonctionner, notamment pour garantir aux victimes un règlement rapide de leurs dommages.
- Famille : elle doit être respectée et valorisée. Pour cela, nécessité d'offrir à tous l'égalité des chances pour l'accès aux équipements (crèches, garderies et qualités de services dans les zones rurales). - Santé : lutter pour la préservation des services publics hospitaliers sur tout le territoire français. Accentuer les efforts destinés à améliorer le quotidien des personnes âgées et des personnes handicapées.
Ecologie
- Chasse : reconnaissance des dates traditionnelles de chasse aux oiseaux migrateurs. Moratoire sur l'interdiction du plomb dans les cartouches. Obtenir la réduction du prix du permis de chasse. Rattacher la chasse au ministère de l'Agriculture et non à celui de l'Ecologie.
- Environnement : interdire la construction d'usines à forts risques industriels dans les zones habitées. Informer et éduquer le consommateur sur les comportements à adopter sur la question des déchets. Développer les énergies renouvelables comme énergies complémentaires aux énergies classiques fossiles.
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Phillippe de Villiers, prêt pour l'Elysée ?
03/02/2007 20:16
Le candidat du Mouvement Pour la France, Phillippe de Villiers, politicien expérimenté :
- 1986 - 1987 : secrétaire d'État auprès de François Léotard, ministre de la Culture et de la Communication au sein du Gouvernement Jacques Chirac
- 1987 - 1988 : conseiller général de Vendée
- 1988 - 2001 : président du Conseil général de Vendée
- 1987 - 1988 : député UDF de la Vendée
- 1988 - 1994 : député UDF de la Vendée
- 1994 - 1997 : député européen (démission)
- 1999 : député européen
- 1997 - 2004 : député non-inscrit de la 4e circonscription de la Vendée (doit renoncer à son siège pour cumul de mandats)
- Depuis juin 2004 : député européen
Economie
- Consommation : lancement d'un label « 100% français ».
- Mondialisation : instauration de tarifs douaniers protectionnistes.
- 35 heures : abrogation pure et simple de la loi Aubry.
- Charges sociales : baisse de 50% pour les petites entreprises et exonération pendant deux ans pour les créations d'entreprises.
- RMI : transformation de ce revenu en revenu minimum de travail pour une activité sociale, associative ou humanitaire.
- PME : mesures incitatives à leur implantation dans les campagnes.
- Emploi : création d'agences par secteurs d'activités.
- Fiscalité : établir le taux maximal de prélèvement obligatoires à 33% ; baisse immédiate de la TVA dans la restauration.
- Allocations : arrêt du versement aux chômeurs qui déclinent deux fois de suite un emploi correspondant à leur profil ou leur formation.
Education
- Carte scolaire : suppression pour permettre aux familles de choisir l'établissement de leur(s) enfant(s).
- Institution de la liberté scolaire.
- IUFM : remplacement des Instituts universitaires de Formation des maîtres par des instituts de formation.
- Port obligatoire le port de la blouse (en primaire) et de l'uniforme (dans le secondaire) « afin d'effacer les différences sociales ».
- Suppression du collège unique.
- Programmes : réforme avec la suppression « des matières et les options superflues qui placent les disciplines sur un pied d'égalité et brouillent ainsi la mission de l'école ».
- Collège : réhabilitation du stage obligatoire chez un artisan ou à l'usine en classe de troisième ; promotion des filières professionnelles.
Société
- Mariage gay : refus de l'union homosexuelle et de l'adoption d'enfants par des couples du même sexe ; inscription du mariage dans la Constitution comme étant l'alliance d'un homme et d'une femme dans le but de former une famille.
- SDF : création de centre de réadaptation à la vie sociale.
- Logement : priorité aux Français.
- Service national : instauration d'un service de 6 mois à la disposition des pompiers et d'organismes humanitaires.
- Famille : suspension des allocations familiales pour les parents coupables de manquement graves dans l'éducation de leurs enfants ; création d'un ministère de la Famille.
Ecologie
- OGM : appliquer le principe de précaution.
- Energie : sortir du tout-pétrole et du tout-nucléaire ; faire de la France le premier pays producteur de pétrole-vert ; lancer de grands programmes de recherche sur les énergies renouvelables.
- Dégrèvement fiscaux pour les investissements en faveur de l'environnement.
Politique étrangère
- La diplomatie au service de la défense d'un monde respectueux des souverainetés nationales.
- Francophonie : une des grandes priorités du quinquennat.
- Moyen-Orient : renforcement de l'image de puissance d'équilibre de la France dans cette partie du monde.
- Défense : augmentation du budget de 5 % ; soutien politique « sans faille aux soldats en opération extérieure » ; sensibilisation des plus jeunes à la nécessité de la défense du pays à travers un service civique.
- Turquie : interruption immédiate des négociations d'adhésion en rappelant le représentant de la France à Bruxelles. - Union européenne : lancement avec les États membres qui le souhaitent des coopérations choisies (dans le droit fil d'Airbus ou d'Ariane) dans les grands domaines d'avenir (énergies, co-développement, bouclier spatial, lutte contre les grandes mafias, terrorisme, drogue, etc.). Naissance d'une Charte fondatrice pour une nouvelle Europe» : avec un périmètre (frontières précises conformes à l'histoire, à la géographie et à la culture européenne), une architecture (« l'Europe vraiment démocratique, dirigée par les peuples et non par 25 commissaires nommés ») et un projet : une Europe de la coopération libre entre les États.
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